Ne servir à rien
et l’ennui
serein
amer
et destructeur
les solitudes
sauvages
et les nostalgies criminelles.
– Conduis-nous
toi le fou
au Paradis perdu
en traçant de ta vouge
un chemin
de sang.
Dans les antres
de la faim
la soif est reine
soif de vie
inassouvie
et de bonheur
détruit.
Dans les dédales
de l’horreur
les labyrinthes
fantasques
s’animent
de lumières
diffuses.
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